[Ouvert] Après deux semaines à errer dans la citadelle

(HRP : Comment j'ai fait n'imp, good luck à ceux qui me liront :rire:
Bon je sais que c'est la crise et que c'est un peu vide mais bon, je garde espoir, surtout avec Morgan qui va pas tarder à s'inscrire o/)

Cela fait un peu plus de deux semaines que j'erre dans la citadelle, seul et logeant dans l'église (chose dont j'avais horreur puisque la religion n'était pas pour moi, je ne pouvais pas croire à ce genre de choses en ayant vécu ce que j'ai vécu), faisant des petits travaux pour les habitants pour me nourrir. Bref, quelque chose qui passe un petit moment mais après cela devient pesant, l'aventure me sied plus, et puis j'avais une mission, un objectif que je m'étais fixé et tant que celui-ci ne sera pas réalisé, la mort pour moi sera inconcevable.
Il était temps que quelque chose bouge... Mais d'abord fallait-il commencer par le commencement, gagner un peu d'argent pour pouvoir partir à l'aventure.
Les petits boulots je n'en voulais plus, il fallait que je trouve un moyen de me faire connaitre sur le marché des jobs pas très nets. Je n'avais absolument aucune idée de comment faire mais je voulais le faire.

Cependant, dur pour Zoublou de trouver un boulot dans ses cordes. Mais en n'étant pas connu, c'était un peu normal ! Zoublou lança une brique au sol en pensant à cet idiot de Link qui avait les faveur du Roi et qui, comme il était très connu dans son domaine, obtenait plein de propositions d'emplois ! Zoublou se calma rapidement... Un jour, il l'aurait et cette idée l'aidait à s'apaiser. Il pouvait ensuite reprendre le petit boulot que la boulangère lui avait demander... Refaire la façade ! Quelle corvée ! Mais le mur de devant était dans un état pitoyable ! Zoublou ne s'étonnait pas qu'il fallait la refaire ! Et être sous-payer pour ça en plus ! Elle avait bien de la chance qu'il lui fallait absolument de l'argent...

- Monsieur Bachi ? Je vous apporte un petit en-cas ! Vous devez mourir de faim !

En tout cas, il ne pouvait pas se plaindre ! Il était nourrir et héberger le temps des travaux... Mais quelle corvée !

Après cette journée de travail je décidai alors d'aller me renseigner à la bibliothèque sur les différentes techniques pour le reste du travail.
Je pris alors un livre parlant des différentes technique de jointure de la région et m'installai dans le divan. Juste avant de commencer ma lecture je me mis à me demander si, dans une citée comme celle-ci une organisation recrutant des voleurs n'existait pas. Au lieu de lire le livre que j'avais pris un instant plutôt, je me mis à la recherche d'un ouvrage parlant de cette possible "Guilde des voleurs". C'est tard la nuit que je tombai enfin sur ce livre.
Même si la journée de demain s'annonçait éprouvante je lu ce livre entièrement. Une information en particulier avait attirée mon attention : Les gens voulant entrer dans cette guilde devait apposer un signe particulier sur leurs créations (Œuvres d'art ou autre travaux manuels), de façon à être reconnus en tout anonymat. Il semblerait que ce travail chez cette charmante boulangère allait me servir pour finir... D'autant plus qu'elle ne poserait pas de question sur la raison de la présence de ce signe.

Je senti que ma situation allait enfin se délier après deux semaines inintéressantes.

Zoublou rentra chez la boulangère. Elle lui avait proposé le gîte durant le temps des travaux. Celle-ci avait préparé un délicieux repas pour son sauveur. Elle n'avait pas l'habitude de faire ça et de mettre autant pour un simple repas si bien que la pauvre devait légèrement se priver. Mais ce n'était rien quand elle pouvait observer l'appétit enthousiaste de Zoublou.

- Vous avez encore fait un magnifique boulot ! En plus, vous avez bien avancé ! D'ici demain, vous aurez terminé, non ?

Zoublou répondit d'un signe de tête et finit pas quitter la table pour aller se coucher. Vivement qu'il aie terminé...

Le lendemain à l'aube, je me levai pour terminer ce travail. La première moitié de la journée, je fit la jointure. Je n'avais pas vraiment eu le temps de voir la technique finalement donc elle fut faite à l'à peu près, j'avais observé plusieurs fois des maçons de chez moi faire ce geste mais ça ne ressemblait pas à ce qui se faisait ici.

La seconde partie de la journée fut consacrée à la peinture. La peinte de la façade ne me prit pas tellement de temps, je m'appliquai surtout sur la peinte du signe que j'avais retenu du livre sur la guilde des voleurs. Cette œuvre ne faisait qu'une cinquantaine de centimètres, elle attirait l'attention mais passait simplement pour l'enseigne de la boulangerie.

Le travail terminé je m'apprêtai donc à profiter une dernière fois de la salle de bain de cette chère boulangère et à lui réclamer mon dû.

La boulangère attendait Zoublou dans la salle à manger. Celle-ci affichait un sourire radieux.

- Merci beaucoup pour le travail que tu as fait ! Je désespérais de voir ma façade dans ce piteux état mais maintenant, grâce à toi, elle est comme neuve. Je sais que je ne t'avais pas promis grand chose mais je t'offre un peu plus que prévu !

Zoublou regarda les 120 saphirs que la boulangère lui tendait. c'était peu, certes, mais il en avait tellement besoin qu'il n'allait pas cracher dessus.

- Sinon... J'aime bien le dessin que tu as peint ! Il est si... particulier ! Je l'adore ! Bon... C'est pas tout ça mais j'ai du boulot qui m'attend demain et il est déjà très tard... Si tu veux, tu peux dormir une dernière nuit ici.

Cependant, Zoublou refusa, il avait autre chose à faire pour le moment. Et il avait besoin de se dégourdir un peu...

Alors qu'il se promenait dans un citadelle, une drôle de lettre lui atterrit dessus. Tout d'abord énervé par cet affront, la curiosité le piqua ensuite quand il vit le sceau apposé sur le lettre, un sceau qu'il connaissait bien...

Ganon, dans sa lettre, a écrit:

Bonjours à tous et à toute,
À la suite du changement drastique de nos vies habituels, je propose une rencontre pour parler affaire. Soyez-en sure, je ne suis pas enchanter non plus de ce qui nous arrive, voilà pourquoi, je crois que des êtres sombres, tel que vous, puisse avoir l’envie de faire de ce monde, le leur. Venez me rejoindre à mon domaine, le grand château près des montagnes si cela vous intéresse.

Ganondorf

Zoublou relit attentivement la lettre et n'en croyait pas ses yeux. Il devait en avoir le coeur net et se dit qu'une virée dans les montagnes devrait être très intéressante...